Demain, c'est Halloween, une fête qui a perdu beaucoup de son intérêt à une époque où tout le monde a peur de tout... 

Puisqu'on parle de la pandémie, revenons un peu sur son traitement par les médias... 

Restons dans l'actualité avec la prime de cent euros, cette aumône minable du gouvernement qui n'intéresse même pas ceux qui, comme moi, n'ont ni voiture ni permis de conduire... 

Egalement dans l'actualité, l'économie qui semble redémarrer grâce à la sortie de la crise sanitaire ; je ne sais pas si c'est un rebond sans lendemain, mais ce dont je suis sûr, c'est que je sais déjà qui va en profiter le plus... 

Et tiens, une petite pointe contre ce crétin de Jean-Louis Murat qui soutient Zemmour : 

Bon, voilà pour l'actualité ; en ce qui me concerne, la semaine a été riche. Pour commencer, il y a eu la soutenance de thèse de Jérémy Cornec... 

La thèse de Jérémy s'intitule Imaginaires de la dystopie et du posthumain dans les séries d’anticipation science-fictionnelles contemporaines (2009-2019). L'occasion pour moi de découvrir un monde qui n'est pas le mien et ne le sera probablement jamais, celui des spectateurs de séries post-apocalyptiques qui ont une télécommande dans la main et leur smartphone dans l'autre pour donner leur avis en temps réel... 

Ce fut aussi l'occasion de découvrir des notions telles que celle d'autoritarisme numérique... 

...ou de "spectateur idéal". 

La notion de "spectateur idéal" a été critiquée pour la bonne et simple raison que l'effet d'une série sur le public ne va pas nécessairement de soi : pour ma part, à de rares exceptions près, je finis toujours par m'endormir devant l'écran de télé... 

Vous l'avez compris, je suis assez imperméable au medium sériel, je suis même souvent agacé par l'injonction qui est faite de s'y intéresser à tout prix... 

Pour revenir à la soutenance de Jérémy, quand il a été question du "cyborg queer", je n'ai pas pu m'empêcher... C'est peut-être un peu facile, mais je ne pouvais pas laisser passer ça. 

Après la soutenance de Jérémy, concert de Matthieu Le Donge au Crêpes & Cakes (rue de Glasgow, Brest) : 

Ensuite, direction Porspoder pour l'édition automnale de "Arts pluriels" où je tenais mon stand...

Comme la manifestation était au profit d'Emmaüs, j'ai commis ce dessin qui a été mise en jeu lors de la tombola - il a été gagné par une personne de goût : 

Ensuite, j'ai profité d'un moment creux pour dessiner cette statue qui trône dans la salle... 

Le soir venu, en ouverture du vernissage, nous avons eu droit à un tour de chant d'Yvette Lucas... 

Le lendemain, j'ai trouvé quelques volontaires pour se faire caricaturer (je publie ces photos avec l'autorisation des personnes concernées)... 

Le soir, j'ai eu la chance d'être invité à un concert de Benoît Blue Boy dans le cadre du festival Aber Blues : 

Mercredi soir, enfin, passage à La Raskette, au port de commerce de Brest, pour profiter la scène ouverte du mercredi soir afin d'y faire du slam et découvrir les autres talents venus s'y produire : 

Attendez, ce n'est pas fini, j'ai encore quelques bricoles à vous montrer ! D'abord, un dessin que j'ai commis après avoir entendu une chronique d'Alex Vizorek dans laquelle ce dernier imaginait à quoi pourrait ressembler aujourd'hui le Bébête Show ; vous pouvez donc voir ici l'humoriste belge occupant la place qui fut jadis celle de Jean Roucas, entouré du panda Castaner, du suricate Macron et du perroquet Mélenchon ! On pourrait y ajouter le pélican Castex, le vautour Zemmour et l'ours Bertrand... 

Ensuite, une charge contre ceux qui s'obstinent à défendre la religion en général et l'Eglise catholique en particulier... 

Un visuel pour une éventuelle campagne de publicité pour un dentifrice dont le slogan serait "le dentifrice des artistes" : 

Une nouvelle pierre du "projet Hazel" qui, je le rappelle, consiste à proposer de nouveaux looks pour la sorcière devenue belle dans Broom-Stick Bunny : 

Et enfin, pour finir en beauté, une BD en hommage aux Monsieur-Madame, la géniale série créée par Roger Hargreaves qui a célébré ses 50 ans d'existence cette année : 

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, à la prochaine !