Mon opinion sur l'actualité n'est pas plus intteligente que la vôtre, mais vous avez tout de même le droit de le savoir.
Commençons par quelques dessins sur l'invasion de l'Ukraine...
Celui-ci répond à une question qui m'a été posée récemment par l'épouse d'un ami :
Poutine : assassin à Kiev, maquereau de l'extrême-droite à Paris.
En France, un formidable élan de solidarité s'est déclaré en faveur du peuple ukrainien : c'est une bien belle chose, naturellement, mais je ne peux m'empêcher d'être sceptique, à l'issue de toutes ces années où mes compatriotes ont fermé les yeux devant les ignominies de Vladimir Poutine quand ils ne se sont pas carrément mis à genoux devant lui...
N.B. : Le monsieur à droite est Ronan Calvarin, notable de Portsall qui s'est engagé dans la Légion Internationale pour défendre l'Ukraine contre l'envahisseur.
Et enfin, dans la catégorie "Désolé, je n'ai pas pu m'en empêcher" :
Changeons de sujet, et parlons un peu de l'allègement des restrictions sanitaires : la levée du pass sanitaire, effective depuis le début de la semaine, qui a dû laisser orphelins de nombreux mécontents professionnels...
...et, bien sûr, ce foutu masque que je n'ai plus eu à mettre que dans les transports en commun cette semaine (ce dont je me fiche un peu car, pour moi, le bus et le tram ne sont pas de lieux de vie).
Un petit mot de la campagne électorale et de son cortège de promesses à la mords-moi-l'urne...
La campagne n'est pas à proprement parler passionnante, Macron ayant toutes les chances de repasser...
La question en suspens est plutôt celle du candidat qui affrontera la président : si Jean-Luc Mélenchon est le seul candidat de gauche à avoir le vent en poupe, il est assez improbable, pour l'heure, qu'il dépasse "la grosse" et s'invite au second tour. Mais qui sait ? Il est permis de rêver, après tout - je précise tout de suite que si je déteste MLP et tout ce qu'elle représente, je n'éprouve pas pour autant de sympathie sans réserve pour Mélenchon. Je sais aussi quel monstre était Staline, alors inutile de me faire la morale, vu ?
Vous l'avez compris : la guerre plus les antivax plus l'extrême-droite, ça me fait quelque peu désespérer de notre époque...
Bon, terminons ce tour d'horizon de l'actualité sur une note positive : je m'en serais voulu de ne pas ajouter un clou au cercueil de Jean-Pierre Pernaut ! Quand j'ai appris sa mort il y a deux semaines, j'ai poussé un soupir de soulagement : le vieux Pernaut est clamsé, il ne nous fera plus chier avec ses discours de briseur de grève, ses émissions poujadistes qui faisaient passer l'Etat pour un voleur et ses reportages qui voulaient nous faire plaindre ces malheureux grands propriétaires blancs d'Afrique du Sud, tellement à plaindre depuis que Frederik De Klerk a redonné à la racaille mal blanchie le droit de circuler sans laisse... Bref, que Pernaut pourrisse en paix !
Bon, passons à un tout autre sujet : je vous avais parlé il y a deux semaines de la soutenance de thèse d'Eric Kerjean, sur le thème Frank de A à H : la ligne légale du national-socialisme ? Voici donc les dessins qui m'ont été inspiré par cette soutenance. Tout d'abord, il faut préciser que ni les jurés ni le candidat n'ont remis en cause le fait que ce dignitaire, nazi qui ensanglanta la Pologne, ment comme il respire dans les écrits qu'il a laissés - de toute façon, le fascisme, en tant qu'idéologie promouvant l'idée suivant laquelle la société pourrait et devrait être parfaitement homogène, est déjà un mensonge en soi, il ne faut donc pas s'étonner que ses promoteurs mentent même en épelant leur nom, surtout quand les crimes qu'ils commettent pour forcer la vérité à se conformer à leurs fantasmes leur valent de devoir rendre des comptes...
Tout ceci pour dire que quand un nazi a laissé un écrit, c'est bien sûr un document précieux pour un historien mais dont il faut savoir se méfier...
...d'autant qu'on y trouve souvent un bric-à-brac spirituel !
Hans Frank étant juriste, il a bien sûr été question des rapports que le Reich entretenait avec les magistrats. On s'en doute, Hitler ne concevait la justice que soumise à son autorité...
...mais rares ont été les juristes à résister au nazisme !
On sait depuis Hannah Arendt et son concept de "banalité du mal" qu'un nazi peut être un homme "ordinaire"...
...ainsi, Hans Frank était probablement assez corruptible pour faire (brièvement) fi de l'idéologie moyennant finance, par exemple en épargnant une pianiste juive - tant mieux pour cette artiste même si ça ne rend pas Frank plus sympathique pour autant.
A l'attention des non-comprenants (car on m'a déjà posé la question) : ce dessin fait allusion à Deutschland über alles, qui signifie littéralement "L'Allemagne avant tout" et qui est une phrase l'hymne national allemand depuis 1922. Ce n'est donc PAS une devise nazie, mais Hitler et ses sbires ne se sont évidemment pas privés de se la réapproprier et de lui donner le sens qui les arrangeait.
Précisons enfin que les écrits de Frank semblent faire état d'une conversion tardive au christianisme. Si j'étais mauvais esprit, je dirais bien que passer de la croix gammée à la croix du Christ n'est jamais que changer de fascisme. Et justement, je SUIS mauvais esprit ! Plus sérieusement, quand on a expliqué le principe d'un monothéisme à l'enfant que j'étais, j'ai tout de suite compris que cette croyance portait en germe toutes les dictatures. C'est que j'avais la chance d'être intelligent et d'avoir des parents qui me tenaient à distance des usines à abrutir dont les curés ont parsemé le territoire au fil des siècles...
Pour en finir avec la soutenance d'Eric Kerjean sur une note plus légère : il a aussi été question de la traduction de textes allemands et des limites des logiciels de traduction automatique...
Je ne plaisante malheureusement pas : la proportion d'étudiants qui entrent à l'université en sachant à peine écrire une phrase en français est effarante...
Sans transition, musique : le dimanche 13, au PL Le Gouill, mes amis de Putain 2 Renaud ont donné un concert qui a ravi un auditoire malheureusement clairsemé, tant il est vrai que les absents ont toujours tort. On déplorait l'absence de la délicieuse Audrey, mais Mélanie a su compenser à sa façon ce vide avec une première partie commac.
Ayant déjà souvent dessiné les membres de la troupe, j'ai essayé de les représenter en pied de façon à mettre en avant l'émotion et l'énergie qu'ils mettaient dans chaque chanson. Ce n'était pas très facile, surtout dans le cas de Mikaël !
Fort heureusement, ce dernier a eu la bonne idée de s'asseoir sur le bord de l'estrade qui servait de scène, ce qui m'a facilité le cadrage avec mon petit carnet.
Ci-dessous : Mikaël et Manu chantent "Il a plu sur Paris", une chanson écrite par le premier après les attentats du 7 janvier 2015.
Notez le changement de costume de Mélanie qui troque sa jupe contre un jean pour chanter du Renaud :
J'ai enfin pu faire entrer Mikaël tout entier sur ma feuille quand il a chanté "La pêche à la ligne" : un moment d'émotion car cette chanson lui tient à cœur, surtout en cette période où des parents ukrainiens aimeraient bien pouvoir emmener leurs enfants à la pêche - la troupe n'a pas manqué de rendre hommage au peuple ukrainien...
Après le concert, retour à la fac pour la soutenance de thèse de Sarah Bellemare, sur le thème "Les représentations sociales de la prématurité à l’aune du NIDCAP dans les unités hospitalières de Brest et du Mans".
La prématurité, au cas où vous ne le sauriez pas, est l'état de l'enfant né avant terme et dont les organes ne lui permettent pas de vivre normalement hors de l'utérus maternel :
Une telle situation est évidemment, pour les parents, une source de peur...
D'angoisse...
...et de culpabilité !
Au cours de la soutenance, la candidate a parlé de ses échanges avec les parents d'enfants prématurés, auxquels elle demandait notamment de dessiner leur vision de la chambre où leur petit est soigné ainsi que leur vision de la chambre idéale...
L'un des membres du jury, par ailleurs chef du service de Néonatalogie du CHU de Toulouse, n'a pas manqué de profiter de l'occasion pour dénoncer la situation désastreuse de son service...
...et une autre jurée a évoqué la "magie" de la naissance que la prématurité viendrait noircir, ce qui prouve que même une chercheuse reconnue et sérieuse n'est pas à l'abri de se laisser séduire par les poncifs cucul-la-praline.
Sarah a été reçue ; on a arrosé ça et on lui a donné ses cadeaux...
Je lui ai ainsi offert cette peinture la représentant en Joconde.
Pour en finir avec la soutenance de Sarah, un petit dessin qui tient presque du private joke : en effet, quand j'avais eu vent de ses recherches pour la première fois, je lui avais dit, pour rire, que les temps avaient changé depuis l'époque où on jetait les prématurés aux cochons... Et elle a confirmé mon propos ! En clair, ce que je disais pour plaisanter était un fait historique reconnu ! D'où ce dessin qu'il était d'autant plus tentant de réaliser que, comme vous l'avez vu si vous avez bien suivi, l'hôpital du Mans faisait partie du terrain de recherches de la nouvelle docteure :
La fac Segalen a aussi accueilli deux colloques, l'un sur Virginia Woolf, l'autre sur les "Rotspanier", les républicains espagnols exilés que la France de Vichy avait livrés à l'Allemagne nazie afin qu'elle puisse les réduire en esclavage - mais la IIIe République n'a pas été tellement plus accueillante... J'ai assisté aux deux colloques (en alternant de l'un à l'autre bien entendu), j'en ai ramené 28 pages (format A6, bien sûr) de croquis sur le vif et 41 caricatures ! Mais pour voir tout ça, il vous faudra attendre un peu, d'une part parce qu'il faut me laisser le temps de finaliser les caricatures et d'autre part parce que vous avez déjà été gâtés cette semaine... Pour vous mettre en bouche, voici déjà une caricature de Virginia Woolf (jeune)...
Une de Virginie Despentes (dont il a été brièvement question lors du colloque)...
...et une de Marie-Josette Le Han, professeur émérite de littérature du XXe siècle, qui était venue lire des lettres de Virginia Woolf. Avant de prendre sa retraite, madame Le Han a fait les beaux jours de l'université de Brest, son professionnalisme et sa bienveillance faisant l'unanimité auprès de ses étudiants (dont j'ai fait partie) et de ses collègues.
Allez, on se termine avec un dernier dessin réalisé dans le cadre des cours du mercredi soir ; j'ai repris un croquis que j'avais fait d'une jeune musicienne appelée Zahel (qui avait fait la première partie d'un concert de mon copain Matthieu Le Donge) en train de jouer du ukulélé et je l'ai combiné à une idée que j'avais eue il y a dix ans pour illustrer un article dans feu Sept jours à Brest (pour l'anecdote, le concert avait eu lieu au Boucan, un lieu formidable aujourd'hui fermé et en attente d'un acheteur, écrasons une larme) :
Voilà, c'est tout pour cette semaine (et c'est déjà beaucoup) , à la prochaine !
Tout d'abord, puisqu'il le faut, une évocation de l'Ukraine... Oui, c'est tout ce que j'ai trouvé pour l'instant, mais je compte me remettre au dessin d'actualité très prochainement. Pour ceux qui ne sont pas en bons termes avec la langue (et le théâtre) de Shakespeare, cette réplique d'Hamlet signifie "Ce crâne a contenu une langue et a pu jadis chanter"...
Dans un autre d'ordre d'idées, voici deux travaux d'assez grande ampleur qui m'ont quelque peu accaparé ces derniers temps. Premièrement, ce dessin qui m'a été commandé par un particulier : il voulait que je lui fasse un conseil municipal de Brest à la manière du banquet des aventures d'Astérix. C'est peut-être faire beaucoup d'honneur à ces politiciens, mais le client est roi.
On peut reconnaître, en partant du haut à droite vers la gauche pour ensuite arriver en bas à droite (vous suivez, j'espère !) : Bernadette Malgorn (en barde ligoté), Hosni Trabelsi (en forgeron), François Cuillandre (en chef, comme il se doit), Yohann Nédélec, Véronique Bourbigot, Réza Salami, Marc Coatanéa (en poissonnier), Frédérique Bonnard-Le Floch (en Astérix), Fortuné Pellicano (en Obélix), Marc Berthelot et Bruno Calvès (en druide).
Deuxièmement, dans le cadre des cours du soir, une gouache inspirée du conte Riquet à la houppe, une belle histoire d'amour entre un prince très laid mais très intelligent et une jeune fille très belle mais... Heu... Disons, pas très futée. J'ai choisi ce conte parce qu'il a inspiré à Amélie Nothomb un de mes romans préférés - je me suis beaucoup identifié à son héros laid et surdoué.
Passons à quelques travaux plus modestes ; d'abord, deux caricatures de personnalités, à savoir Ed Sheeran...
...et Elsa Esnoult. Il est très difficile de caricaturer les jolies femmes, mais j'ose penser que ce n'est pas trop raté.
Et enfin, des croquis de candidates de N'oubliez pas les paroles - j'ai récemment passé une soirée chez mes parents.
Voilà, c'est tout pour cette semaine, à la prochaine !
Après les statues équestres de la semaine dernière, voici une autre série, consacrée cette fois aux sept péchés capitaux, chacun étant associé à une personnalité médiatique de premier plan. A tout seigneur, "tout honneur", commençons par un acteur de légende devenu un vieillard obèse et rapace qui bouffe à tous les râteliers, fût-il rempli de sang comme celui que lui a offert la Russie de Poutine...
Autre grande amie de la Russie de Poutine, une harpie qui a repris la boutique de haine fondée par son père ; elle en a repeint la façade, mais le fond de commerce dédié à l'imprécation xénophobe reste le même...
Autre marchand de haine, cet individu repoussant, sinistre et malveillant dont la méchanceté s'explique assurément par l'aigreur...
Dans un autre registre, ce milliardaire dont la mégalomanie semble ne pas avoir de limites et qui envisage, tel Zorglub, de coloniser le système solaire...
Passons à un célèbre présentateur de journal télévisé qui a toujours eu tendance à croire que tout lui était dû...
Toujours à la télé, cette animatrice à qui je ne nie ni charme ni intelligence mais que son ego surdimensionné rend imbuvable...
Et enfin, parce que pour bien se moquer des autres, il faut savoir se moquer de soir-même...
Voilà, c'est tout pour cette semaine, à la prochaine !
Avant tout : vous l'avez peut-être lu dans la presse locale, votre serviteur donnera une conférence sur son parcours de personne avec autisme le 23 février à 19h à l'amphi 2 de la faculté Victor Segalen (Brest). La conférence s'intitule "Voyage en Normalaisie" et l'événement est organisé par l'association étudiante Handicapable. J'avais proposé, pour l'affiche, le visuel que vous voyez ci-dessous, mais l'asso en a préféré un autre, plus classique.
Dans un autre ordre d'idées, je me suis amusé récemment à imaginer les statues équestres de personnalités contemporaines ; voilà ce que ça donnerait :
N.B. : nous laissons au cheval l'entière responsabilité de son appréciation de la voix de sa cavalière. Après tout, qu'est-ce qu'un canasson connait à la musique, hein ?
Voilà, c'est tout pour cette semaine ; à la prochaine !
Voyons les choses en face : nous n'avons pas été reconfinés depuis huit mois, le port du masque n'est plus obligatoire dans les rues, le recours au télétravail n'est plus systématique, les concerts debout vont bientôt reprendre... Certes, nous ne sommes pas encore complètement tirés d'affaire, mais l'heure où nous pourrons faire le bilan de l'épidémie approche. J'y contribue à ma façon, d'abord en évoquant à nouveau les splendeurs et les misères (surtout les misères, je dois dire) des trois confinements successifs...
On pourra aussi discuter du bien-fondé de certaines consignes...
Voire de la dangerosité réelle du virus...
...ou encore du fait que l'épidémie n'ait pas frappé partout avec la même intensité !
Le hérisson a raison, parlons des élections, tiens ! Pour ma part, mon choix pour le second tour est fait : si notre président est encore face à un(e) candidat(e) fasciste, je vote contre ce(tte) dernier(e), mais si on a un second tour Macron-Pécresse, je m'abstiendrai car on aura VRAIMENT deux candidats qui se vaudront.
En tout cas, je doute fort que les Français soient enfin disposés à élire une femme...
Allez, une petite pointe sur Zemmour !
Pour les non-comprenants : Marie Lenéru (1875-1918) était une dramaturge et diariste native de Brest : à quatorze ans, une rougeole carabinée la rendit mal-voyante et non-entendante, ce qui ne l'empêcha de devenir une dramaturge reconnue. Elle défendit bien entendu les droits des femmes et des personnes en situation de handicap et eut l'idée d'une instance de réglementation internationale des conflits en pleine première guerre mondiale : une visionnaire, en somme.
Dans un tout autre ordre d'idées : il y a un mois, je vous avais montré les dessins que j'avais réalisés pour l'anniversaire d'un complice et qui nous représentaient, lui et moi, dans plusieurs rôles différents - cliquez sur ce lien si vous ne vous en rappelez pas. J'ai réutilisé ce procédé pour l'anniversaire d'une amie très chère ; voici le dessin de base...
...et voici les variations ; la première n'a pas besoin d'explication, je pense !
Un thébain de base demande à la princesse Antigone ce qu'elle compte faire de cette pelle :
Pour les non-comprenants : fille d'Œdipe (dont elle est aussi la sœur, et oui) et de Jocaste, Antigone décida d'enterrer le corps de son frère Polynice malgré la décision du roi Créon de priver de funérailles la dépouille de celui qui avait pris les armes contre Thèbes ; Antigone finit emmurée.
Athéna (Minerve pour les Romains), déesse de la sagesse, avec son frère Héphaïstos (Vulcain pour les Romains), dieu de la forge et de la métallurgie (j'ai toujours eu un faible pour ce dieu très laid mais très habile) :
Deux boxeurs qui prouvent que ce ne sont pas toujours les plus gros qui gagnent :
Catherine Ringer et Serge Gainsbourg sur le plateau de Zénith, une émission présenté par Michel Denisot sur Canal+ dans les années 1980 - Gainsbarre énerva sérieusement la chanteuse des Rita Mitsuko en la traitant de "pute" sous prétexte qu'elle avait tourné dans des films érotiques, ce qui, il est vrai, était plutôt gonflé de la part du vieux chanteur qui était mal placé pour donner des leçons de pudeur et d'élégance...
Marie, qui vient d'avoir un bébé, se demande ce qu'elle va faire du cadeau du roi Balthazar - elle est mal renseignée, la myrrhe est utilisée pour son parfum depuis l'Antiquité et a des vertus antispasmodiques et stimulantes, mais c'est vrai que comme cadeau à une jeune maman, ça fait un peu crevard :
La reine lionne et son ami le mandrill - car le vrai roi des animaux, c'est la lionne, en fin de compte :
Léonard de Vinci et son plus illustre modèle :
Amedeo Modigliani et son modèle pour La fillette aux nattes :
Et enfin, Titi avec Hector le bouledogue :
Dans un autre registre, quelques croquis sur le vif exécutés au Café de la Plage au cours d'une scène ouverte...
...et, pour finir, un petit travail réalisé au cours du soir. Notre professeur, qui est une artiste imprévisible, avait eu la bonne (?) idée de nous faire prendre comme modèle un squelette (artificiel, évidemment) vêtu d'une robe et chaussé de pantoufles informes... Je me suis tiré assez honorablement de l'exercice, qui prouve que le malaise est parfois un stimulant !
Voilà, c'est tout pour cette semaine, à la prochaine !