Avant de revenir sur une actualité qui n'a pas vraiment besoin de commentaires (mais comme disaient les Guignols, "quand il n'y a rien dire d'un événement, le plus important, c'est d'en parler" !), une petite anecdote familiale : il y a un peu moins de deux ans, ma tante Noëlle quittait cette vallée de larmes, emportée par un cancer. Entre autres fourbis, la famille a retrouvé chez elle quelques toiles qu'elle avait peintes pour s'occuper ; je ne pense pas insulter sa mémoire en disant que la plupart de ses peintures n'avaient qu'un intérêt artistique limité, à tel point que j'envisage de les recouvrir pour peindre autre chose par-dessus. Mais d'autres peuvent être "sauvées" si je prends la peine de les retravailler ; c'est le cas, par exemple, d'une copie de "La Chambre" de Van Gogh, que j'ai détournée à ma manière :

Maintenant, quelques dessins d'actualité...

La pureté retrouvée de l'air est sans doute l'effet le plus surprenant et le plus profitable du confinement :

Coronavirus ou pas, les ambitions politiques ne s'émoussent pas :

On termine avec quelques croquis préparatoires pour une planche de BD que j'ai terminée récemment mais qui est trop grande pour que je puisse la scanner chez moi ; il faudra attendre la fin du confinement pour que je puisse vous la montrer... En attendant, si ces croquis me représentent, ce n'est pas par mégalomanie : c'est juste qu'il s'agit d'une planche autobiographique qui m'a été inspirée par mes débuts dans l'enseignement, il m'avait donc semblé logique que je me mette moi-même en scène.

Voilà, c'est tout pour cette semaine, à la prochaine...